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Здравствуйте! ПОЖАЛУЙСТА прошу вас помочь мне с транскрипцией жо вечера, хотя бы с первой частью

Sona Ghukasyan Ученик (101), открыт 4 часа назад
1 ответ
Александр Михеев Мастер (1206) 3 часа назад
Конечно! Вот текст на картинке с французского:

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**— C'est la première fois qu'il est en retard.
— S'il n'est pas là, c'est qu'il est malade!
— Sa femme n'a pas téléphoné?
— Je ne sais pas.**

**À dix heures, les collègues de Pierre Roulin comprennent qu'il se passe quelque chose d'anormal. C'est à 10 heures 15 que Ballard, qui occupe le guichet n° 9, décide d'informer le chef de service.**

**Monsieur Doucet, chef de service, regarde sa secrétaire qui téléphone. Roulin... un homme précieux qui n'hésite jamais à rester le soir, toujours à l'heure, travailleur et modeste. Monsieur Doucet pense qu'il ne sait rien de cet employé modèle. La secrétaire le regarde.**

**— Alors?
— Mme Roulin ne comprend pas, son mari est parti à 7 heures 45 comme tous les matins.
— Il ne lui a rien dit?
— Non.
— Elle n'a rien remarqué de spécial?
— Elle ne m'a pas parlé de cela.
— Il a peut-être eu un accident, tout simplement. À 11 heures appelez la police et tenez-moi au courant.**

**À midi, les derniers clients quittent la banque. Le guichet n° 10 est toujours fermé. Roulin n'est pas arrivé.**

Конечно! Вот транскрипция текста на изображении:

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**PIERRE ROULIN, CAISSIER**

Le 15 octobre, comme tous les matins, à 7 heures précises, Pierre a ouvert les yeux. À côté de lui, Claire, sa femme, dort encore. Il a fait les gestes de tous les matins : il s’est levé, il a ouvert les rideaux, il a regardé par la fenêtre et il a préparé le café, puis il s’est dirigé vers la salle de bains. Sa toilette achevée1, il a jeté un dernier coup d’œil au miroir qui lui a renvoyé l’image de Pierre Roulin2, caissier à la banque de Paris, 46 ans, marié, père de deux enfants. Tout à coup, il s’approche du miroir. Là, à gauche, au-dessus du front, des cheveux blancs. Pierre ne bouge plus. Vieux, il est vieux.

— Tu n’écoutes pas les nouvelles?

Claire est là, debout derrière lui et le regarde.

— Non.

— Tu n’as pas réveillé les enfants?

— Si.

Pierre avale une troisième tasse de café et écoute distraitement. Comme tous les matins, au petit déjeuner, c’est la même conversation:

— Finis ta tartine.

— Je n’ai pas faim.

— Prends tes vitamines. Récite-moi encore une fois ta poésie.

Et la radio... les élections, le Boeing détourné3, l’augmentation du prix de l’essence, le chômage. Et sur sa tête, là, les cheveux blancs.

— Au revoir, à ce soir.

Il pleut. Paris est gris, humide, sale. Pierre, de loin, a reconnu Moreau à l’arrêt de l’autobus. Moreau travaille dans la même banque que lui. Parfois ils prennent l’autobus ensemble, Moreau ne l’a pas vu. La journée a commencé, pareille à celle d’hier4, pareille à celle de demain avec les nouvelles, Moreau, bientôt la banque, le guichet n° 10 et ainsi jusqu’à la retraite.

À la banque, le guichet n° 10, fermé, attend les regards des clients. Mais vous savez, Roulin n’est pas là.
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